Allez, même si elles n’arrivent pas à la cheville des très belles photos de Philippe, quelques-unes pour compléter:
La Combe Laval; le rocher dit: "La tête d’éléphant".
Le fond de la combe:
Le monastère au fond; pour se faire une idée de la profondeur de la Combe:
La paillote des gens heureux:
Il y a du niveau coté création de pizza !
On est sur du poulet-curry avec celle-là, sauf erreur:
Et, excusez du peu, au feu de bois; la maison ne reculant devant aucun sacrifice !
Bon, il y avait bien Denis qui souriait de manière énigmatique depuis son arrivée.
À peine descendu de moto, il avait avisé un tronc sur le terrain puis avait immédiatement croisé mon regard avec ce sourire inquiétant.
J’ai immédiatement compris qu’il avait emmené une corde dans sa sacoche réservoir et, vu le gabarit du bébé (comparez la chope de bière au colosse), j’ai vérifié la validité de ma convention obsèques, histoire de quitter ce monde avec un minimum d’ordre, sinon de dignité.
Mais finalement, il s’est montré magnanime et je lui baise les pieds pour sa grande mansuétude.
On avait aussi l’homme araignée, tissant sa toile d’amitiés.
La décence m’empêche de montrer d’autres toiles d’araignées, celles-ci déplacées sur des centaines de kilomètres dans les entrailles de la meule à Beubeu.
N’empêche qu’une kawette sortie de grange nous l’a ramené alors que son rutilant VFR V-Toc faisait son caca nerveux.
Mais celui qui a le plus assuré dans l’adversité, ce n’est pas la monture mais le bonhomme !
Il y aurait encore beaucoup à dire sur cet excellent weekend et pardon aux bonnes gens que je n’ai pas cité mais merci à toutes et tous pour ce moment de saine convivialité.
Très heureux de vous avoir tous rencontré, que ce soient ceux que je connaissais déjà comme ceux qui m’ont fait mettre un visage sur un pseudo et de la chaleur humaine que mon virtuel peine à faire passer.
Et il y a aussi Karine qui a passé un week-end qu’elle n’oubliera pas et qui se joint à moi pour vous en remercier de tout son cœur que vous avez touché.
Un clin d’œil pour finir:
Le lait fermenté:
Le laid fermenté:
Les deux sont pareils: Ils ne donnent pas envie de prime abord et il faut les goûter pour ce qu’ils sont vraiment pour les apprécier.
Allez, chiche, cul sec pour tout le monde, la prochaine fois !
Non, je ne suis pas en train de parler de sexe.

Je ne me reconnais plus; vous m’avez changé…
