Balade du 1er juin.
Publié : 02 juin 2014, 19:46
Hier, petite sortie, à l'ancienne soit 580km.
Avant tout, c'était pour tester le 500 dans les conditions où je serai amené à l'utiliser et pour voir aussi s'il n'a pas de tare.
Tranquillou, je quitte Narbonne grimpe vers la montagne noire, traverse les monts de Lacaune et, à Lacaune, soit une centaine de kilomètres après le départ, je fais un arrêt café.
Je vous laisse deviner quelle est la spécialité de la ville :

Reprise du cap pour le Sud de l'Aveyron et notamment la ville de Saint Affrique. Pour y arriver, c'est une route viroleuse et vallonnée qui y mène et sur laquelle le twin est à son aise :

Puis la route se poursuit vers la sous-préfecture de l'Aveyron et je tombe sur l'inévitable :

Et qui dit Millau, autrefois célèbre pour la confection des gants, dit surtout les gorges du Tarn :



J'adore cet endroit. Faut éviter d'y faire de la vitesse car c'est très fréquenté, mal revêtu. Je traverse le lieu façon touriste puis à Florac, à 262km depuis le départ je donne à boire à ma monture car les stations services se raréfient dans le coin. Un rapide calcul me donne une consommation de 4.4l / 100. Ca laisse rêveur...
et je repars vers la corniche des Cévennes.
Ca monte gentiment à travers une forêt de conifères puis un vaste plateau s'étend puis la descente s'amorce vers Saint Jean du Gard. Dans la descente on passe de paysage un peu de moyenne montagne pour retrouver un décor plus méditerranéen avec un température en hausse.


Arrivé en bas, j'ai encore envie de rouler mais je m'aperçois que j'ai bêtement omis de m'équiper d'une carte de la région. Je me laisserai bien tenter de faire un crochet par le Mont Aigoual mais je ne me souviens pas de l'itinéraire. Je me dis qu'en reprenant plein Nord, la première route à gauche ferait l'affaire....
Belle erreur ! je m'embarque sur une route qui pourrait faire le bonheur des amateurs du moto tour : Deux voitures ne peuvent s'y croiser, il y a des trous, du gravier, de la terre, des couleuvres alanguies... Quarante bornes de virolos très serrés, avec pas mal de pièges et l'impression que Serge Nuques peut me déboiter à tout moment...
Finalement j'atterris au Village de Valleraugue où je retrouve la route qui monte jusqu'à l'Aigoual, tout en tournicotant au milieu d'une forêt. Plus je monte et plus la température chute et les nuages semblent s'agglutiner au sommet. Aussi, arrivé à la station de ski du village de l'Espérou, je file vers Saint jean Du Bruel. Je me souviens que c'est dans l'Aveyron, le cap qui me fera rentrer à la maison.
Puis j'enquille la direction de Nant. Là, au village, j'essaye de me souvenir de la géographie locale et me dit qu'il faut que je tire vers le Larzac, que je traverse rapidement.
Je me rapproche mais il me reste encore deux bonnes heures pour rentrer. Au lieu de tirer direct, je ne peux m'empêcher de descendre le col de la Croix de Mounis, un régal de tourniquet bordé par les falaises d'Orque :

Au final, la moto se comporte plutôt bien. Pas de bruit étrange, pas une goutte d'huile et une consommation contenue.
Il me reste encore à nettoyer les étriers, vidanger les circuits de frein, nettoyer une nouvelle fois la chaine de transmission.
ce fût un bon jour pour rouler.
Avant tout, c'était pour tester le 500 dans les conditions où je serai amené à l'utiliser et pour voir aussi s'il n'a pas de tare.
Tranquillou, je quitte Narbonne grimpe vers la montagne noire, traverse les monts de Lacaune et, à Lacaune, soit une centaine de kilomètres après le départ, je fais un arrêt café.
Je vous laisse deviner quelle est la spécialité de la ville :

Reprise du cap pour le Sud de l'Aveyron et notamment la ville de Saint Affrique. Pour y arriver, c'est une route viroleuse et vallonnée qui y mène et sur laquelle le twin est à son aise :

Puis la route se poursuit vers la sous-préfecture de l'Aveyron et je tombe sur l'inévitable :

Et qui dit Millau, autrefois célèbre pour la confection des gants, dit surtout les gorges du Tarn :



J'adore cet endroit. Faut éviter d'y faire de la vitesse car c'est très fréquenté, mal revêtu. Je traverse le lieu façon touriste puis à Florac, à 262km depuis le départ je donne à boire à ma monture car les stations services se raréfient dans le coin. Un rapide calcul me donne une consommation de 4.4l / 100. Ca laisse rêveur...
et je repars vers la corniche des Cévennes.
Ca monte gentiment à travers une forêt de conifères puis un vaste plateau s'étend puis la descente s'amorce vers Saint Jean du Gard. Dans la descente on passe de paysage un peu de moyenne montagne pour retrouver un décor plus méditerranéen avec un température en hausse.


Arrivé en bas, j'ai encore envie de rouler mais je m'aperçois que j'ai bêtement omis de m'équiper d'une carte de la région. Je me laisserai bien tenter de faire un crochet par le Mont Aigoual mais je ne me souviens pas de l'itinéraire. Je me dis qu'en reprenant plein Nord, la première route à gauche ferait l'affaire....
Belle erreur ! je m'embarque sur une route qui pourrait faire le bonheur des amateurs du moto tour : Deux voitures ne peuvent s'y croiser, il y a des trous, du gravier, de la terre, des couleuvres alanguies... Quarante bornes de virolos très serrés, avec pas mal de pièges et l'impression que Serge Nuques peut me déboiter à tout moment...
Finalement j'atterris au Village de Valleraugue où je retrouve la route qui monte jusqu'à l'Aigoual, tout en tournicotant au milieu d'une forêt. Plus je monte et plus la température chute et les nuages semblent s'agglutiner au sommet. Aussi, arrivé à la station de ski du village de l'Espérou, je file vers Saint jean Du Bruel. Je me souviens que c'est dans l'Aveyron, le cap qui me fera rentrer à la maison.
Puis j'enquille la direction de Nant. Là, au village, j'essaye de me souvenir de la géographie locale et me dit qu'il faut que je tire vers le Larzac, que je traverse rapidement.
Je me rapproche mais il me reste encore deux bonnes heures pour rentrer. Au lieu de tirer direct, je ne peux m'empêcher de descendre le col de la Croix de Mounis, un régal de tourniquet bordé par les falaises d'Orque :

Au final, la moto se comporte plutôt bien. Pas de bruit étrange, pas une goutte d'huile et une consommation contenue.
Il me reste encore à nettoyer les étriers, vidanger les circuits de frein, nettoyer une nouvelle fois la chaine de transmission.
ce fût un bon jour pour rouler.