Présentation de Arno05
Publié : 29 mars 2020, 09:16
Bonjour à tous et toutes,
Mes parents ont décidé de m'appeler Arno en 1984.
Grandi en Poitou-Charentes, migré en Haute-Savoie, actuellement à Gap dans les Hautes-Alpes.
J'ai roulé à deux roues étant "jeune"; 103 RCX (!), 125 TZR, 250 RS, 600 Hornet, puis 900 Hornet. Après quoi j'ai troqué le 2 roues pour du 4 durant mes études, à grand coup de 205 D bien évidemment.
Arrivé à l'âge adulte (35 ans, c'est bien pour sortir de sa crise d'ado...), je me remets en selle, avec un cahier des charges assez simple : ne pas perdre son permis, ne pas se ruiner, ne pas se faire mal ( j'ai déjà donné en montagne), prendre du plaisir simplement sur mes trajets quotidiens. Je suis tombé sur un GPZ 500 de 1996 à 2 pas de chez moi. "Bah c'est sympa ce p'tit truc !", c'est agile, confort. Allez, zou ! La demoiselle a du km, + de 70 000, mais jusque-là semble bien se porter. Cela fait un petit mois qu'on fait connaissance (d'ailleurs, carte grise !).
Pour le moment je fais un peu l'état des lieux, une chose après l'autre. Vidange, filtre à air, purge des freins, déglaçage des plaquettes, bougies, réglage carburation ( à fignoler, mon expérience en mécanique moto n'est pas très grande ), révision du circuit électrique. Avec à chaque fois comme impératif qu'elle soit prête pour aller bosser le lendemain.
N'ayant pas l'habitude du bicylindre 4 temps, je trouve que ça ratatouille un peu., mais ça ne m'effraie pas plus que ça. Le mieux reste l'ennemi du bien.
Mes parents ont décidé de m'appeler Arno en 1984.
Grandi en Poitou-Charentes, migré en Haute-Savoie, actuellement à Gap dans les Hautes-Alpes.
J'ai roulé à deux roues étant "jeune"; 103 RCX (!), 125 TZR, 250 RS, 600 Hornet, puis 900 Hornet. Après quoi j'ai troqué le 2 roues pour du 4 durant mes études, à grand coup de 205 D bien évidemment.
Arrivé à l'âge adulte (35 ans, c'est bien pour sortir de sa crise d'ado...), je me remets en selle, avec un cahier des charges assez simple : ne pas perdre son permis, ne pas se ruiner, ne pas se faire mal ( j'ai déjà donné en montagne), prendre du plaisir simplement sur mes trajets quotidiens. Je suis tombé sur un GPZ 500 de 1996 à 2 pas de chez moi. "Bah c'est sympa ce p'tit truc !", c'est agile, confort. Allez, zou ! La demoiselle a du km, + de 70 000, mais jusque-là semble bien se porter. Cela fait un petit mois qu'on fait connaissance (d'ailleurs, carte grise !).
Pour le moment je fais un peu l'état des lieux, une chose après l'autre. Vidange, filtre à air, purge des freins, déglaçage des plaquettes, bougies, réglage carburation ( à fignoler, mon expérience en mécanique moto n'est pas très grande ), révision du circuit électrique. Avec à chaque fois comme impératif qu'elle soit prête pour aller bosser le lendemain.
N'ayant pas l'habitude du bicylindre 4 temps, je trouve que ça ratatouille un peu., mais ça ne m'effraie pas plus que ça. Le mieux reste l'ennemi du bien.