Certains participants de la GP5 m'identifieront grâce au simple sobriquet "B-M-iste passager", d'autres fans d'ovalie par "Gazou", ou simplement par "Vincent".
Ce week-end, du bas de mes 21 ans, je trônais fièrement sur la si confortable selle rembourée de mon pote Lula, ou bien à l'arrière de l'intruse R1200 RT (bicycle que vous parvenez d'ailleurs difficilement à juger, affalés sur vos meules colorées aux allures rétro-futuristes).
Discret sans être farrouche, je découvrais alors le microcosme des passionés de cuir, sangles et autres outils longiformes faisant du gipiste le parfait trappeur de juillet. J'ai pu découvrir le temps d'un week-end prolongé la mécanique sauvage, les balades en aspiration de caravane et autres barbeuc' allumés au maïs.
Même si je ne suis pas encore pilote, je m'emploierai dans les jours futurs à obtenir le papier rose pour enfin pouvoir chevaucher l'objet au centre de nos attentions : une splendide GPZ.
En attendant de pouvoir causer culasse, amorto ou selle confort, j'aimerais vous mettre au défi en vous interrogeant sur l'un des plus émninents secrets de la gipi : la différence entre une 500 et une 500 S

Sur ce portez-vous bien !
Bien à vous,
LaGaz'