Marrant, on dirait que le fait que les choses s’apaisent te désappointe…
Peut-être aurait-il été préférable que ce vieux … soit réduit au silence par quelque internaute révoltée

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minioim a écrit :c'est moi ou t'es en train de dire que depuis le début tu nous affirmes que ta théorie est la bonne juste parce qu'en fait tu ne te sens pas de réaliser celle qui t'es opposé???
je tombes des nues là...
donc en fait ya peut être (même surement en l’occurrence) une solution meilleure que celle que tu balances mais parce que tu n'es pas capable de l'appliquer avec autant d'efficacité que celle que tu connais, personne n'en est capable et donc la tienne est meilleurs?? ça marche aussi pour toutes tes autres grandes explications??
Je suis capable de freiner du seul frein avant avec une intensité que tu avais du mal à croire, souvient toi.
A moins que tu me traitais de mito, juste pour le plaisir du dénigrement.
Je peux donc sans problème continuer à affirmer que ma façon de faire est très bonne.
De plus, en l'espèce, je n'avais pas le choix.
Cela faisait quelques jours que je n'avais pas de frein arrière, ayant posé un étrier avant de gpx en lieux et place de mon étrier arrière de zzr, la purge se trouvait en bas et non en haut, ce qui, une fois monté, pose un problème de purge.
Connaissant mon niveau de maîtrise du frein avant et l'efficacité intrinsèque de cet outil, je me suis dit avec raison quoique me mettant hors la loi que cela pouvait attendre.
Cela m'a appris que, machinalement, je freinais d'habitude légèrement de l'arrière en tant normal, alors que je me qualifiais d'emblée comme un freineur exclusif de l'avant, ne m'en rendant compte que par l'absence du truc.
Quelques jours plus tard, lors de cette confrontation avec le bus, ce frein arrière ne m'a pas manqué du tout.
Tu parles donc de théorie la où je cite ma pratique.
La pertinence de celle-ci est d'ailleurs étayé par les pdf que stavva à eu l'honnêteté de communiquer, alors qu'ils comportent des éléments qui ne font pas que abonder dans son sens.
Un tel comportement permet de ce concentrer sur l'essentiel: faire en sorte que chacun ait des éléments pour développer sa pratique de la moto.
Ton comportement à toi, quelle est sa finalité
Sur le 2° pdf, les modalités sont claires: les motards devaient utiliser les 3 commandes (frein av-ar et levier d’embrayage) dans la séquence de leur choix avec sortie du panel s'ils ne le faisait pas.
Ils signalent néanmoins que le 16° meilleurs freinage sur 298 l'avait été avec le seul frein avant et avec 38 m d'immobilisation pour une moyenne générale de 41 m pour l'ensemble des tests.
Mais étant hors cahier des charges, il n'est pas pris en compte dans le cadre des conclusions.
De tout cela, il ressort que j'ai fait la promo du frein avant, conscient que c'est une carence chez de nombreux motards.
Cela, encore une fois est confirmé dans les documents de stavva.
C'est donc quelque chose d'utile à faire.
Tu me dis que je ne me sens pas de faire la méthode «defa» et qu'être incapable de la réaliser serait mon mobil profond.
Je n'ai pas dis que je ne savais pas faire mais que «j'avais du mal avec», comprendre «cela me semble peu praticable en freinage d'urgence».
Ma précaution «l'âge peut-être» ouvrant la porte à la possibilité que d'autres maîtrisent le truc, ce qui ne traduit pas un comportement orgueilleux ou suffisant de ma part.
Alors, tu passe du temps à me draper du manteau de vanité et quand je fais acte d'humilité, tu cris au scandale; tu es décidément difficile à contenter.
J'ai du mal avec (le défa, pas toi) parce que le cadre qui aboutit à cette recommandation est, selon l'étude, le suivant:
Freinage intensif immédiatement après une accélération amenant à une vitesse mini de 100 km/h.
Le freinage d'urgence, c'est autre chose.
Tu ne sais pas qu'au point T, tu freines mais tu te fais cueillir par une situation face à laquelle chaque fraction de seconde te rapproche d'une gamelle, éventuellement d'une portée létale.
Hors, là encore, la doc de stavva révèle que lâcher accélérateur suffit à provoquer le transfert de charge sur la roue avant et que l'on a besoin d'une efficacité de freinage maximale là où la distance parcourue est la plus grande, soit en début de freinage.
Puisque il en découle que c'est d'attaque du freinage qui est primordial dans le résultat de celui-ci, pourquoi ne pas attaquer d'emblée un freinage d'urgence par la frein le plus puissant: le frein avant
Le défa, c'est une séquence qui, même avec entrainement mange du 10° de seconde au moment où on en a le plus besoin et c'est pour cela que «j'ai du mal avec».
minioim a écrit :
ça m'assomme de voir autant d'estime de soi.
…
tu n'es peut être pas le maître étalon sur qui l'ensemble de la communauté motarde doit se fier et que d'autres peuvent peut être réussir à mieux faire que toi.
Tu devrai essayer, l'estime de soi permettant d'entendre autrui s'exprimer sur un sujet qui compte pour soi sans se sentir systématiquement attaqué, voire abaissé par ce qui est dit.
Pour ce qui est du maître, ce n'est pas moi mais la physique et c'est elle qui rappelle la logique des choses qui transpire même dans des études, un peu biaisées par leur cadre d'expérimentation et qui concluent différemment, de par les mesures qui sont réalisées.
Pour ce qui est de l'étalon, je suis flatté mais, malgré mon pseudo, il me manque des cm, là encore, implacable dictature de la physique…
